La fics sans nom (mais pas sans intérêt)

Plutôt que de spéculer sur l'avenir et de donner dans la science-fiction la meilleure approche de notre futur et surtout celui de nos descendants n'est-elle pas de savoir un peu mieux qui nous sommes et ce que nous souhaitons pour demain et après-demain. Nous introspecter, descendre au fond de nous-mêmes, réfléchir sur tout ce qui est enfoui dans notre conscience, tenter d'éclairer, même faiblement, nos voeux, nos souhaits, nos rêves, nos fantasmes est certainement l'attitude la plus logique si nous voulons progresser plus sereinement vers l'avenir.
9 Aôut 2011 éditeur :inconnu

13 Juillet 2069
Le livre dont je sortais ces phrases était intitulé « Prophétie » l’auteur n’en était pas connu, mais qu’aurais t-il dit si il avais pus voir ce qu’est devenue notre monde ? A son époque, ce que l’Humanité (avec un grand H vue ce qu’il en reste) a vécue lui aurais certainement semblé relevant d’un abus de substance illicite, c’est tragi-comique. Au fait, je m’appelle Alector Hegemon, un survivant d’un monde aujourd’hui en déclin, j’ai 16 ans et j’ai déjà une idée du monde qui m’attend, nous sommes fichus, et celui qui a écrit ce texte n’a pas changé le monde, sa vue n’étais qu’à moitié juste.
Je vie dans la mégalopole de Mégaparisi, une des rares enclaves restantes de France, en effet, les plus petites villes ne purent être sauvé pour la plupart, et à partir de 2050 la banlieue tentaculaire s’est enrichie de plusieurs million de réfugiés. Pourtant, malgré la relative protection qu’offre cette surpopulation façe aux Aragamis, il reste évident que la mort peut frapper à la porte à tout instant. Au fait je ne vous ai même pas parlé de ce qui a causé notre « petite apocalypse personnelle ». Au début les gens les ont appelés démons, d’autres anges, mais la seule appellation correcte est Dieu, ou Aragamis en japonais et comme j’aime cette consonance, ce sera ainsi que je les appelleraient, ce nom viens des cellules souches des Aragamis, que les scientifiques ont appelés « cellules Divines ».
Je vis de petits boulots, surtout depuis que ma famille a été détruite par un assaut de Borg Camlann il y a deux ans, mais au fond, je ne suis pas triste, mon oncle n’était qu’un drogué adepte des petites filles…non très petites filles, et ma sœur une putain vérolée, je crois que c’est pour ça que je garde mon sens de l’humour, maintenant qu’ils sont morts je me rend compte que le silence peut être aussi beau que n’importe quelle musique.
Aujourd’hui comme tout le monde je vais devoir passer un test pour connaitre mes taux de réaction aux cellules « Divine » et voir si j’ai les capacités pour devenir God Eater, vue ma chance habituelle je serais négatif, mais bon, je ne suis pas sur que devenir God Eater me plaise, bon c’est vrai qu’ils sont le dernier rempart de l’humanité, mais on va pas en faire tout un fromage, de toute façon, à peine 1% de la population a les aptitudes requises.
Avec d’autres gosses du coin nous nous rendons au laboratoire du Fenrir, ce sont eux qui ont créé les God Arc, les armes des God Eaters, même si je serais bien incapable de vous expliquez comment cela fonctionne. Il y a déjà une longue file d’attente, mais rien ne presse, la plupart des adolescents sortent normalement, mais de temps en temps quelqu’un est invité à passer des tests plus poussé, un petit groupe de 4 adolescents sont choisis d’un coup, vue leur vêtements ce sont des bourgeois, j’imagine aisément leurs poches pleines de néo-euros, il me viens aussi quelques pensées salaces en voyant une grand brune dans le groupe se tenant droite, très droite, faisant ainsi ressortir sa magnifique paire de…mais je mégare.
C’est maintenant mon tour, un médecin me demande de passer dans le scanner et de me dépêcher parce qu’il y a du monde derrière.

Si vous avez des commentaires à faire, allez-y, poster les ici. (mais soyez constructif si ce que vous avez à dire est négatif

Ouah , tu est très doué pour mettre dans l'histoire, cette fan fiction m'as l'air génial, on a envie de continuer a lire tellement tu nous ancre dans ce récit.
La seule critique que je pourrais mettre(et encore c'est en chipotant)c'est d'être trop cru sur les détails(enfin le personnage se trouve dans un monde au bord de la destruction alors...).
CONTINUE!!!^^

Je fus introduit dans une pièce gigantesque, plus une cathédrale qu'autre chose, je promenais mon regard sur les murs tout autour de moi.
Ceux-ci étaient remplis de centaines de photos, peintures, représentant une personne,cdifférente sur chaque photo en dessous étais marqué un nom, un matricule et une date. D'après ce que je pouvais en déduire je me trouvais donc dans le Monument aux Soldats, cette pièce, dédiée uniquement aux soldats morts au combat depuis le début de la guerre, même si je n'ai jamais eu l'esprit patriotique ces gens s'étaient battu pour la survie de l'espèce humaine et une petite prière (intérieure) me semblait indispensable. Histoire de m'attirer les bonnes graçes des défunts après tout mieu vaut prévenir que guérir.
Je finis par poser les yeux sur le centre de la salle, vide, à l'exception de nombreux fauteuils placé en cercle et d'un géant barbu et chauve qui se tenait droit, la poitrine décoré de tellement de médailles qu'il ne pouvait qu'être un bon gros chef bien lâche du genre à rafler tout les honneurs quand plusieurs de centaines d'hommes sont morts l'arme à la main pendant que lui se faisait tailler...la barbe. Je finis par m'asseoir au milieu du groupe déja formé, je remarquais immédiatement que deux groupes s'étaient formé, les riches d'un coté (dont la magnifique brune aux jambes interminabole) et de l'autre coté les plus pauvre comme moi, je décidais bien évidemment de m'asseoir à coté des gentils richous, histoire de faire un peu de provoque.
Au bout de deux heures un médecin vint annoncer qu'il ne restait plus de candidats. Le militaire ouvrit enfin la bouche:
-Mesdemoiselles, messieurs, vous allez être envoyé dans un camp d'entrainement, pendant une petite semaine, cela peut paraitre court mais croyer moi, cela suffira, il avait un ignoble sourire carnassier, un peu celui que doit avoir un requin en aperçevant le derrière nu d'un baigneur...
-Vous partez aujourd'hui.
-Ou allons nous ? demanda un grand escogriffe à ma gauche.
-Dans la seconde enclave française...en Bretagne.
Je ne fus pas étonner outre mesure, après tout ce secteur semblait idéal pour entrainer de jeunes recrues.
Je me remémorais le comment de la survie de la Bretagne, en 2040 l'ARB (Armée Révolutionnaire Bretonne) avais réussi à obtenir indépendance bretonne, mais seulement après plus de 10 années d'une guerre acharnée, pour éviter une future tentative d'anexion le nouveau gouvernement fit construire un mur géant, et ainsi, lors de l'attaque de 2050, la bretagne fut sauver...après quelques années elle finis par retomber sous le joug d'une gouvernement français, mais le mur (et le caractère bien trempé des bretons) resta.

Environs 2 heures plus tard, pendant que je discutais avec quelques recrues, le Mur (vue sa taille mieu vaut utiliser un grand M) apparut, il était gigantesque, dantesque même uniformément gris, les fondations renforcée de piques gigantesque, des batteries de missiles étaient placées tout les 500 mètres. Nous arrivâmes au dessus des portes adamantine liant la région au reste du pays, je vis alors comme des taches sur les portes...des cadavres suspendus sur toutes la hauteur des portes, un avertissement apparament.
L'hélicotère finis par atterir une dizaine de minutes plus tard, accompagné d'une dizaine d'autres, un militaire, sergent vue ses galons vint devant nous, pour nous mener jusqu'à nos baraquement.